Raiden
Rang D
Messages : 129 Date d'inscription : 29/03/2014
Feuille de personnage Points de Vie: (910/910) Points de Mana: (56/56) Stat: Stat | Base | Equipé | Niv. | 7 | 7 | For. | 20 | 22 | Int. | 5 | 5 | Con. | 10 | 10 | Dex. | 17 | 20 | ATQ. | | 80 | MATQ. | | 100 | DEF. | | 75 | MDEf | | 0 | Endu. | 850 | 780 | Vit. | 9 | 9 | AM | 3 | 3 |
| Sujet: Raiden Kamimari Sam 29 Mar - 19:01 | |
| Nom :Kamimari Prénom :Raiden Surnom : Raijin, L'avatar du tonnerre. Age : 17 ans Lieu de naissance : Elfheim, le royame des elfes. Classe: Chasseur, Beastmaster Personnalité : Raiden est une personne impulsive, qui va avoir tendance à agir avant de réfléchir, il n'est pas très doué pour les rapports sociaux et fait preuve d'un franc-parler assez brutal. Ce qui lui attire en général pas mal de problèmes. Ayant vécu une bonne partie de sa vie dans la forêt, il manque un peu de savoir vivre. Il n'a que très peu d’intérêt pour la politique, les coutumes et le fonctionnement d'une société en général et a du mal à saisir le concept de propriété surtout lorsqu'il s'agit des possessions féodales et de ce genre de choses. Etant demi-elfe, il n'a pas de problème particulier avec les autres race, même si il ne manque pas une occasion de se moquer des nains. Il respecte néanmoins la force brute, et sais reconnaître un guerrier ou un mage pour sa force, son courage ou ses valeurs. Bien qu'il ai vécu une partie de son enfance avec des elfes, il ne partage pas forcément leur point de vue sur tout, il n'a pas vraiment assimilé certaines de leur mœurs. Il parle et lit couramment l'elfique. En général il est plus à l'aise en milieu forestier et naturel. Physique : - Raiden, le demi-elfe:
- Introduction:
Elfheim, Elfheim, la cité des elfes. On dit que cette cité millénaire recèle bien des secrets, ses habitants immortels ont traversé les âges, ont été témoin de la naissance, de la vie et de la mort de nombreuses civilisations humaines, de son impudence, de son ingéniosité, de sa barbarie et de son adaptabilité. Des félicités comme des périodes martiales. Oui, les elfes millénaires étaient fascinés par l’humanité, ils les regardaient d’un œil curieux mais toujours distant et froid. Ils les considéraient comme une race impulsive, inconstante en perpétuelle évolution. Oui, pour ces êtres dit-on témoins de la genèse du monde, l’Homme était une créature fascinante. Leur monde avait toujours été synonyme d’inertie, de constance, de continuité, un monde vieillissant, lentement mais surement. D’ailleurs, les elfes, bien qu’ils en aient la possibilité, n’étaient pas très enclins à procréer. Après tout, quel intérêt pour une race d’êtres quasi-immortels sinon d’encombrer leur population de manière inutile. Bien qu’ils fussent en apparence d’éternels jeunes gens, les elfes n’en étaient pas moins qu’un peuple vieillissant. A cheval sur ses principes ancestraux, admiratifs, mais méfiant des autres races. Ils préféraient s’abstenir de s’impliquer dans leur problème. Ce qui ne concerne pas les elfes, n’est pas le problème des elfes. Un adage qui les avait préservés de tous problèmes extérieurs. Les elfes d’Elfheim vivaient dans la forêt du Sud en harmonie avec la nature. Ils protégeaient farouchement leur territoire et contrôlaient quiconque devant traverser la forêt pour une raison ou une autre. Ils cohabitaient avec un peuple de chasseurs, Les Dorrhakar. Ces derniers étaient un peuple fier et farouche qui adulait l’art du combat. Ils vivaient néanmoins en paix et en harmonie avec les elfes et les autres peuples dans une autre partie de la forêt peuplée de bêtes féroces. C’était un peuple ancien, jeune aux yeux des elfes, sauvage aux yeux des peuples dits civilisés d’Asgard. Ils vivaient dans un petit village appelé Mohai. Les Dorrhakar vivaient celons leur propres principes et respectait profondément la nature. Ils croyaient aux esprits de la forêt et pensaient que leur destin était aux mains de ces esprits. Un mauvais destin ne pouvait être que le fait d’un non-respect de la nature. Comme ils le disent si bien « Ce que la forêt donne, la forêt reprends ». Les conditions extrêmes dans lesquelles ils vivaient ne laissaient pas la place aux faibles.
Néanmoins leur force n’était rien face à la puissante magie des braconniers et des seigneurs revendiquant la terre. En effet les Dorrhakar n’étaient pas très ouverts au commerce et à la diplomatie et les rapports avec les autres peuples étaient souvent limités à des avertissements pour quiconque bafouerait les lois de la forêt. Acculé face à l’envahisseur les Dorrhakar avaient sollicité l’aide des elfes autrefois. Néanmoins leurs prières restèrent sans réponse et les Elfes ignorèrent leur appel. « Ce ne qui concerne pas les Elfes, n’est pas le problème des Elfes ». De nombreuses vies furent perdues et un profond ressentiment s’installa envers les « fils de la forêt » comme les Dorrhakar les surnommaient autrefois. Ils étaient désormais considérés comme des traîtres ou des lâches. Les Elfes ne souffrirent pas de cette considération. Pour eux, les Dorrhakar n’étaient qu’un peuple parmi les humains, des plus stupides qui plus est. Ils n’étaient pas les premiers humains à les haïr, mais ce ressentiment était au-delà de la portée d’Elfheim.
[A suivre]
- Chapitre I:
Ce que je pense du maître ? C’était un homme exceptionnel, brillant et sage. Mon premier souvenir du maître ? C’était il y a longtemps, laisse-moi réfléchir…aussi loin que je me souvienne, il a toujours été là pour moi. Ma mère est morte quand j’en étais aux premiers moments de mon existence, la pauvre était trop faible pour me nourrir, mes frères et sœurs la suivirent quelques temps après son décès. Mon père ? Je n’ai jamais connu mon père, certainement un coureur de jupons, comme les autres. Tu vois, nous avons plus de points communs que tu ne le pense, tous les deux…Alors que tout faisait croire que j’étais né pour mourir, il est apparut. C’était un étranger pour les hommes qui habitaient ce village. Je me souviens encore de comment il était vêtu. Il portait un grand Kimono aux motifs de fleur, et tenait dans sa main une lance qui semblait pouvoir transpercer un Béhémoth. Tu sais ce qu’est un Béhémoth ? Miaaaw, laisse tomber, vous les jeunes d’aujourd’hui ne savez pas grand-chose ! Bref, pour une raison qui m’échappait à l’époque, il était rejeté par les mêmes humains qui nous avaient abandonnés, ma mère, mes frères et sœurs. Je ne lui faisais pas confiance pour autant ! Je me souviens encore de son visage crispé quand je l’ai mordu alors qu’il approchait son bras. Peut importe à quel point j’essayais de le repousser, cet homme insistait…En y réfléchissant bien, il devait se sentir bien seul, pour vouloir de ma compagnie, après quelques moments, j’acceptai quand même le pain qu’il me proposait. Il faut dire que les temps était durs, faire confiance à un inconnu était la condition pour rester en vie, je n’avais pas vraiment le luxe de faire le difficile ! Enfin bref, ton père était quelqu’un d’exceptionnel, avant de m’en rendre compte je marchais déjà à ses côtés! Il vivait dans la grande cité des Enfants de la forêt comme les appelaient mes anciens maîtres. Il était respecté comme un grand sage par ses pairs, il connaissait des milliers de choses et je passais mes après midi, paressant à l’ombre des arbres millénaires, à écouter les cours qu’ils donnaient aux étudiants. Le me rappelle qu’il me donnait toujours un bol de lait après chaque leçon, comme si il me félicitait de l’avoir écouté jusqu’au bout. Ce n’est pas comme un certain gamin ingrat que je connais… Bref…c’était les meilleurs années de ma vie, tout allait bien jusqu’au moment où Adad rencontra ta mère !
- Chapitre II:
L’introduction de la chasseuse dans la cité des Elfes avait généré une certaine agitation chez tout le monde, je dois avouer que je n’aimais pas vraiment, les humains de la tribu d’où elle venait. Il faut dire que je n’aime pas vraiment les humains de manière générale en fait…Ils sont si rustres. Passons…La chasseuse avait été blessé par une créature de la forêt et était arrivée par hasard, malgré les sortilèges de protection de la cité, à Elfheim. Là où les enfants de la forêt y voyaient un mauvais présage, ton père lui, vit cette rencontre comme la providence, le destin, une chance. Ton père était un homme bon, qui donnait sa chance aux plus faibles d’entre nous. Il prit la responsabilité de s’occuper d’elle, malgré le désaccord de ses pairs et le mécontentement que son acte généra. Oui, parce qu’il faut savoir que les Elfes d’Elfheim n’aiment pas trop se mélanger aux autres habitants, il y a un dicton Elfe qui dit : « Ce qui n’est pas elfe, ne concerne pas les elfes… ». Ton père croyait sincèrement que les humains et les elfes devaient cohabiter tous ensemble, il disait que chacun avait à apprendre de l’autre et qu’il s’agissait d’une occasion de renouer contact avec le monde extérieur. Il ne fallut pas longtemps pour qu’une idylle naisse entre ton père et ta mère. Leur relation ne plaisait pas plus aux humains qu’aux elfes, elle, fut exclu de son clan, car elle manquait à ses obligation de chasseuse durant tout le temps qu’elle passait avec ton père, lui, était la cible des railleries et des complots vis-à-vis de ceux qui avaient autrefois été ses élèves et collègues. Un couple que tout sépare. Les elfes qui étaient très à cheval sur leur tradition et leur non-implication dans les affaires des hommes finirent par exiler le couple, mais dans un effort bien hypocrite de leur part les aidèrent à se construire une petite cabane à mi chemin entre le village de ta mère et Elfheim. Mais le mal avait déjà été fait : Ta mère ne pouvait déjà plus rentrer dans son village. Et malgré ses talents indéniables de chasseuse elle avait quand même besoin des autres. Ton père faisait des allers-retours entre Elfheim et la maison car il conservait toujours ses fonctions d’enseignants. Les années qui suivirent étaient difficiles mais tes parents étaient heureux, malheureusement ta mère, tomba malade au pire des moments possibles. Ton père fit le choix de rester au près de ta mère et ne put longtemps assurer ses fonctions.
- Chapitre III:
La vie était certes, difficile mais tes parents vivaient heureux, ta mère ne s’est jamais remise de sa maladie et a perdu ses capacités de chasseuse, laissant ton père seul responsable de la sécurité de leur foyer. Les choses changèrent quand tu es né. Je me rappelle encore de notre première rencontre, évidement tu étais un nourrisson il n’y a aucune chance pour que tu t’en souviennes, mais petit déjà tu avais déjà une grande force vitale. Tu étais déjà le sale mioche que tu es aujourd’hui. Tu t’amusais à tirer sur ma queue comme si tu jouais avec un vulgaire hochet, un mioche détestable. Je ne comprends pas ce qui a suscité tant d’intérêt chez toi pour que les elfes s’intéressent à toi. Toujours est-il qu’ils avaient, semblent-ils des projets pour toi. Un jour, tu devais avoir dans les 3 ou 4 ans, un haut dignitaire d’Elfheim se présenta à la cabane, je me souviens encore de son air dégouté quand son esprit raffiné constata la modestie de la demeure. Il vint trouver ton père pour lui proposer de t’instruire les grands principes des elfes, leur histoire et leur coutume. Ta mère, alitée refusa avec force la proposition du messager, elle avait un profond ressentiment quand à la situation dans laquelle ils se trouvaient et les tenaient pour responsable, je dois bien lui reconnaître raison… Adad, néanmoins ne tourna pas dos à son peuple, il estimait que son propre fils méritait une éducation exemplaire, il accepta la proposition, il avait aussi dans l’espoir que son fils puisse rencontrer d’autres personnes. Rahna, ta mère accepta à condition qu’il puisse venir visiter ses parents une semaine sur deux. Les premiers jours n’étaient pas simples, tu étais un enfant turbulent, mais tu apprenais vite, les enseignements d’Adad, te rendaient service, tu devrais les utiliser plus souvent ! Te souviens-tu la fois où tu as mis des punaises sur la chaise de ton professeur ? Mr Sylwinn ? Il était rouge comme une tomate ! Tu ne dois pas t’en souvenir, mais tu t’énervais souvent quand tes camarades disaient du mal des humains…toujours à se battre ! Le début était laborieux, mais tu as fini par intégrer les mœurs elfes. C’est que voulait Adad après tout.
- Chapitre IV:
Je n’oublierais jamais ce jour où tout a changé. Ton père utilisa toute la puissance qu’il lui restait et se sacrifia pour me permettre de te sortir de la ville et te mettre à l’abri. Je n’ai jamais compris ce qui s’était passé, c’était comme renaître, c’était comme être transcendé par une vérité implacable. Comme si je me réveillais enfin la lucidité. Une grande m’avait été léguée par Adad, je sentais, et je sens encore sa présence au plus profonds de moi. Je fis de mon mieux pour te mettre en sécurité et de te ramener chez toi. Je sentais au fond de moi que j’étais destiné à devenir ton gardien, non, plus que ça, je sentais que nos destins étaient désormais scellés. C’est étrange de devenir une arme mais dès que tu m’as tenu sous cette forme pour la première fois, tout est devenu limpide, Adad m’avait investi d’une mission qui allait au-delà de ta protection, il voulait te transmettre son savoir, il voulait que les connaissances que j’avais acquises à ce moment là te soient transmises, j’ignore encore quel était son but, mais je se que je sais c’est que toi et moi sommes liés maintenant. Je ne connais pas le fin mot de l’histoire mais j’ai le sentiment que nous serons amené à jouer un rôle important pour ce monde et pour être prêt quand ce moment arrivera nous devons encore progresser tous les deux. - Epilogue:
La créature féline avait enfin terminé son récit, il était assis sur une sorte de rocher, près du feu et semblait s’étirer de tout son long. Il fixait à travers ses yeux brillants le jeune homme qui écoutait d’un air à moitié endormi. Tous les deux avaient établi une sorte de campement dans une clairière, je jeune homme faisait griller un petit lapin, à la broche et l’assaisonnait d’un air nonchalant en soupirant : - Tu es lourd à la fin, j’ai déjà entendu cette histoire, lâche moi un petit peu, se plaint-t-il. - Si tu n’étais pas aussi borné, je n’aurais pas à me répéter, répondit le félin d’un ton autoritaire. - Hey, je trouve que tu la ramènes beaucoup pour un chat. Commenta le jeune homme d’un air malin. - Comment oses-tu petit insolent… ! Mais l’homme agita quelques bruns d’herbe à chat sur lequel l’orateur se jeta frénétiquement. Il se retourna, gêné par la situation. - Sale gosse ! - Ahahah, tu sais plein de chose mais tu es un chat après tout… Les deux campeurs continuèrent à se chamailler pendant un moment, avant de se blottir l’un contre l’autre pour s’endormir…Après tout, ils allaient avoir besoin de repos pour les aventures mouvementés qui les attendaient…
Divers : Il est lié à une créature magique du nom de Raiju, qui est également son alter-égo. |
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