Von Tessen
Rang D
Messages : 81 Date d'inscription : 25/08/2013
Feuille de personnage Points de Vie: (1110/1110) Points de Mana: (63/63) Stat: Stat | Base | Equipé | Niv. | 9 | | For. | 14 | 14 | Int. | 5 | 5 | Con. | 12 | 12 | Dex. | 15 | 15 | ATQ. | 50 | 129 | MATQ. | | | DEF. | | 30 | MDEf | | 12 | Endu. | | | Vit. | | | AM | | |
| Sujet: Re: l'hôtel Palazzo Dim 21 Sep - 23:18 | |
| En un clin d’œil Genyphir et Nanao était hors de la salle, dans le froid.
Dans l’Hotel, les rires et la musique avaient été remplacés par des cris e des pleurs. Un torrent de gens se pressait dans les grandes portes pour sortir.
Il avait suffit un instant pour que cette troupe de gens correctes et de race se transforme en bête. Maintenant les splendides Demoiselles en dentelle bleu et rouge se piétinaient pour être les premières à mettre el danger derrière elles et les Messieurs en habit martial et viril qui, 5 minutes auparavant, se pavanaient devant leurs cavalières tentaient de reprendre leur souffle et leur sang froid.
Un tel spectacle aurait fait la joie de n’importe quel soldat mais malheureusement Genyphir n’avait pas le temps d’apprécier l’instant. Von Tessen – Bon sang, que s’est-il passé ?L’Inquisiteur empoigna un vieil homme, dont les nombreuses médailles qu’il arborait sur sa poitrine n’avaient pas empêchés de fuir, et le pressa pour retirer quelques informations. L’homme était de toute évidence bien secoué et il fallut une bonne gifle, qui ruina l’état impeccable de son impressionnante moustache, de la part de Genyphir pour que l’homme se mette à parler.
L’Inquisiteur le lâcha et revint vers Nanao. Von Tessen – Tout ca c’est de la faute de Kanye, j’en suis sur. Nous ne pouvons rester ici Madame. Venez, la première chose à faire est de chercher mes armes. C’est risqué mais nous n’irons pas bien loin sans elles. Attendez-moi au dehors, nul besoin de rentrer tout deux dans un piège potentiel. A moins que vous n’ayez une meilleure idée ? Vous voulez peut-être rejoindre le Compte ?Genyphir pris la direction de son logements. Voila les fruits de la magie : des abus et des désastres. Il aurait mieux fait de trancher la gorge à autant de ces fauteurs de trouble que possible durant leur sommeil.
L’Inquisiteur atteignit finalement le bâtiment où il avait laissé ses affaires. Il resta quelques minutes à le guetter à une certaine distance. Tout paraissait calme. Il se décida une bonne fois pour toute et rentra dans l’édifice.
Il ignora le flot de questions de la tenancière, les cris de l’hôtel étaient audible jusqu’ici, et se précipita vers sa chambre. Il enfila ses vêtements habituels mais pris soin d’emballer son beau costume. Qui sait quand il pourrait s’avérer utile ?
Il s’apprêtait a partir quand il entendit les cris de la tenancière venir d’en bas et le son d’une multitude de lourdes botte monter les escaliers. La garde était là.
Genyphir jura et se précipita à la fenêtre. Il ouvrit les volets et s’apprêta à sauter mais il changea vite d’avis lorsqu’un carreau vint fendre l’air juste au dessus de son chapeau (SANS POURTANT ENDOMMAGER CETTE MERVEILLE).
Il claqua les volets et jura. Le bâtiment était encerclé.
La garde était maintenant à l’étage et Genyphir pouvait les entendre forcer les portes de la maison et forcer les clients a sortir sous une pluie de cris et d’ordres.
Ils parvinrent finalement à la sienne et commencèrent à la détruire. Genyphir dégaina d’instinct ses armes à feu, mais ce n’était pas une de ces situations où il pourrait s’en sortir l’arme au poing.
La porte céda et laissa passer un torrent de soldats qui se ruèrent sur lui.
L’Inquisiteur pesa le pour et le contre et, confiant sa vie dans les mains du Seigneur, lâcha ses armes, mis ses mains derrière la tête, ferma les yeux et attendis l’inévitable coup. Lorsqu’il se réveilla, Dieu sait combien de temps après, Genyphir se trouvait dans une cellule sombre et sinistre. Il n’avait pas assez de place pour se tenir debout et devait ramper pour atteindre la mince ouverture qui n’aurait permis au prisonnier d’apercevoir que les semelles de ses geôliers.
L’Inquisiteur pensa à tout ces gens qu’il avait envoyé dans des cellules similaires avant de les mettre à la Question puis au bucher. Ils devaient être aussi misérable qu’il l’était maintenant, peut être même plus. Genyphir- * Tant mieux* Plusieurs heures passèrent. Genyphir tenta de garder une vague notion du temps, élément essentiel dans un cas comme celui là.
Apres ce qu’il crut être 4 heures il entendit le crissement d’une lourde porte et le bruit de pas de deux personnes.
Lorsqu’ils atteignirent sa cellule les pas cessèrent.
Genyphir se tordit du mieux qu’il put pour tenter d’apercevoir autant que possible ses geôliers, mais les hommes, de toute évidence familier avec cette prison, s’était placés juste horse de la ligne de mire de l’Inquisiteur.
Finalement l’un deux fit trois pas de plus et posa en dehors da la petite cellule un petit tabouret dont Genyphir put apercevoir les pieds.
Il s’installa, prenant son temps pour arranger une cape bleue qui trainait par terre et après quelques longues secondes se mit à parler. ? – J’imagine que cette cellule vous change bien de la chaleureuse atmosphère du Palazzo. J’y suis allé moi-même une fois vous savez. C’était très…doré.
Genyphir ne répondit pas. Mieux valait se taire dans ce genre de situation. Mieux valait ne pas défier l’autorité de cette homme où l’exciter par des larmes et des supplications. ? – Mais, je crois qu’un homme dans votre genre de métier n’à que faire de ces frivolités n’est ce pas ? Je dirais même que vous n’êtes pas complètement hors de votre environnement ici bas, là où les gens viennent pour être oublié ? L’Homme laissa tomber un objet par terre et le poussa avec son pied dans la cellule de Genyphir. L’Inquisiteur le ramassa et reconnu à la pale lumière du cachot sa rosette. Ford – Mon nom est Ford, Lieutenant Ford. J’ai une proposition à vous faire concernant vos camarades Monsieur. Le sourire revint aux lèvres de Genyphir. Le bon Dieu ne l’avait pas abandonné au final. Genyphir- J’écoute…Deux heures après que Ford soit parti Genyphir entendis à nouveau des pas s’approcher. Une seule personne cette fois, et furtive. Elle s’approcha de la cellule de l’Inquisiteur et se mit à plat ventre.
Genyphir reconnut le visage de Nanao. Genyphir - Vous !? Vous n'auriez pas du venir ici Madame, vous etes autant recherchee que moi.Nanao – Vous voila Monsieur. Je craignais le pire, il ne vous on pas fait de mal ?Genyphir – Non Madame, rien de bien grave, mais je doute qu’ils me laissent tranquille pour bien longtemps.Nanao – Que vous veulent-ils ? Vous ont-ils parlé ? Leur avez-vous expliqué que vous n’aviez rien à voir avec cette terrible histoire ?Le cœur de Genyphir se sera en vu du mensonge qu'il allait lui dire.Genyphir – Personne n’est venus Madame, ils me gardent seul et attendent que je sois epuisé. Avez-vous la clef de cette maudite porte.Le visage de la jeune femme s’éclairci d’un large sourire.Nanao – J’ai bien mieux Monsieur.Elle produisit un parchemin et le tendis à l’Inquisiteur.Nanao – Ceci vous transportera en lieu sur Monsieur Von Tessen.La confiance de l’Inquisiteur s’envola à la pensée d’une nouvelle teleportation
Genyphir – Euh je...Nanao – Bonne chance Genyphir. [ Vers Simurgh ] |
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